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Selon Science Daily, le sixième cancer le plus commun aux Etats-Unis est le mélanome. Le mélanome commence comme un cancer de la peau, puis se propage lentement dans d'autres parties du corps. Une personne sur 50 personnes aux Etats-Unis développera un mélanome au cours de leur vie. Malheureusement, ce nombre continue d'augmenter chaque année, et plus vite que n'importe quel autre type de cancer. Cancer du mélanome commence habituellement par une tumeur cutanée unique. Les cellules individuelles peau tumeurs cancéreuses commencent à se propager, ou dans la terminologie médicale métastases, à d'autres parties du corps. Les pièces les plus courantes de l'organisme le mélanome se propage à sont le cerveau, les poumons et le foie. Il peut également se propager aux ganglions lymphatiques, les muscles, les os, la vésicule biliaire, le tube digestif, le cœur, le pancréas, les glandes surrénales, les reins, la rate et la thyroïde.
Science Daily a rapporté que les chercheurs en médecine de l'Université de l'Utah ont fait la découverte d'une protéine qui aide dans le processus de métastase de mélanome. Le terme médical pour cette protéine est l'adénosine diphosphate ribosylation facteur 6. Les chercheurs ont constaté que l'Utah en inhibant cette protéine la propagation du mélanome est réduite dans les poumons de souris.Cette nouvelle découverte faite par Grossmann Utah chercheur en médecine et ses collègues, c'est que la métastase promotion voie moléculaire qui implique ARF6 (adénosine diphosphate facteur de ribosylation 6), peut être inhibée par la petite molécule SecinH3, dit-Science Daily.
Le chercheur médical Allie Grossmann a un doctorat en médecine et un doctorat et est une pathologie génétique moléculaire collègue à l'Université de l'Utah. Elle a participé à l'étude en tant que co-auteur d'abord et après Science Daily a dit: «La métastase est ce qui rend le mélanome mortel, mais notre connaissance de la façon dont se propage le mélanome est limitée par l'amélioration de notre compréhension de la machinerie cellulaire responsable de métastases du mélanome, nous permet de mieux identifier les thérapies ciblées qui peuvent arrêter la propagation des cellules cancéreuses. "
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